Fabrice Splinder, quand la musique devient soin, souffle et éveil

Fabrice SPLINDER – Prends ton Épée feat. Mélanie Leroy

Dans un paysage musical souvent dominé par la performance ou le divertissement, Fabrice Splinder fait figure d’exception. Plus qu’un musicien, il est un passeur de vibrations, un explorateur des puissances invisibles du son. Son parcours singulier, de guérisseur spirituel à artiste hybride, témoigne d’une volonté profonde, réconcilier le corps, l’esprit et l’émotion par la musique.

Avant d’enregistrer un seul morceau, Fabrice Splinder pratiquait la guérison par le son, s’appuyant sur les fréquences sacrées et les mantras ancestraux pour accompagner celles et ceux en quête de mieux-être. Parmi elles, la célèbre fréquence 128 Hz, connue pour son effet d’harmonisation intérieure, ou encore le mantra « Om Gam Ganapataye Namaha », qui invoque la sagesse et la prospérité à travers l’énergie du dieu hindou Ganesh. Pour lui, chaque son est plus qu’une onde, c’est une onde d’intention, capable de transformer les états d’âme, de libérer les tensions, voire de reconnecter l’auditeur à une mémoire enfouie. C’est cette démarche qu’il transpose aujourd’hui dans ses productions musicales.

L’univers sonore de Fabrice Splinder est aussi pluriel que ses aspirations. De la musique méditative, où chaque note respire avec lenteur et profondeur, à des morceaux de musique électronique plus dynamiques, jusqu’au slam introspectif de son dernier titre « Prends ton Épée », il construit un pont entre les mondes, celui du silence et celui de la pulsation, celui du soin et celui de la fête. Mais quel que soit le style, le message reste le même, chaque morceau est une invitation à se relever, à s’écouter, à s’armer de lumière dans un monde souvent trop bruyant.

À l’heure où les artistes cherchent leur voie dans un marché fragmenté, Fabrice Splinder trace un sillon unique, celui de la musique intentionnelle. Ni new age figé, ni électro abstraite, son œuvre s’adresse à toutes les générations sensibles à l’énergie, à l’alignement, et à la poésie vibratoire.

Il ne vend pas un son. Il propose une expérience.

« Le son n’est pas seulement à écouter. Il est à habiter. À ressentir. À guérir. » – Fabrice Splinder